Newsletter du Séminaire de Stéphane Zagdanski - Issue #5
Annonce de la séance du 2 mai et quelques curiosités en rapport avec la séance du 18 avril
INSCRIPTION 27ème SÉANCE DU 2 MAI 2021
Le buisson d'épines de Spinoza (Spinoza et la Bible 4) Dimanche 2 mai à 14h sur Zoom et le soir sur YouTube 27ème séance du Séminaire la GGG — www.billetweb.fr
Réservation :
Bonjour à tous,
Quelques éléments de réflexion suite à la dernière séance :
Sur le H'erem de Spinoza en 1656, note de Roland Caillois dans son introduction du Pléiade de Spinoza :
«La formule est terrible: "Nous formulons l'excommunication, l'expulsion, l'anathème et la malédiction contre Baruch d'Espinoza… Que Dieu ne lui pardonne jamais!"
Il est interdit de lire ses écrits, de lui parler, etc. mais, en fait, le contenu est moins grave : on ne lui ferme nullement la porte et un paragraphe contient même une sorte de promesse voilée.»
Lettre de Franz Kafka à Max Brod, juin 1921, sur les écrivains juifs et la langue allemande
« Mieux que la psychanalyse me plaît en l’occurrence la constatation que ce complexe paternel dont plus d’un se nourrit spirituellement n’a pas trait au père innocent, amis au judaïsme du père. Ce que voulaient la plupart de ceux qui commencèrent à écrire en allemand, c'était quitter le judaïsme, généralement avec l'approbation vague des pères (c'est ce vague qui était révoltant) ; ils le voulaient, mais leurs pattes de derrière collaient encore au judaïsme du père et leurs pattes de devant ne trouvaient pas de nouveau terrain. Le désespoir qui s'ensuivit constitua leur inspiration. Une inspiration aussi honorable qu’une autre autre, mais qui, à y regarder de près, présentait pourtant quelques tristes particularités. Tout d’abord, ce dans quoi se déchargeait leur désespoir ne pouvait pas être la littérature allemande qu’elle paraissait être extérieurement Ils vivaient entre trois impossibilités (que je nomme par hasard des impossibilités de langage, c'est plus simple, mais on pourrait aussi les appeler tout autrement) : l'impossibilité de ne pas écrire, l'impossibilité d'écrire en allemand, l'impossibilité d'écrire autrement, à quoi on pourrait presque ajouter une quatrième impossibilité, l'impossibilité d'écrire (car ce désespoir n'était pas quelque chose que l'écriture aurait pu apaiser, c'était un ennemi de la vie et de l'écriture ; l'écriture n'était en quelque sorte qu'un provisoire, comme pour quelqu'un qui écrit son testament juste avant d'aller se pendre, un provisoire qui peut fort bien durer toute une vie), c'était donc une littérature impossible de tous côtés, une littérature de tziganes qui avaient volé l’enfant allemand au berceau et l’avaient en grande hâte apprêté d’une manière ou d’une autre, parce qu’il faut bien que quelqu’un danse sur la corde (mais ce n’était même pas l’enfant allemand, ce n’était rien, on disait simplement que quelqu’un danse.) »
Quelques renseignements concernant le grand Gérard Granel, ignominieusement mis en cause
par Pierre Nora :
GÉRARD GRANEL 1930-2000
Philosophe au style éclatant, Gérard Granel a fait une carrière universitaire classique qui ne correspond qu’à une facette de sa forte personnalité. Traducteur, il fut aussi éditeur, polémiste, penseur d’avant garde laissant converger de manière originale la phénoménologie heideggérienne avec le néomarxisme de Gramsci.
Né à Paris dans un milieu de la bourgeoisie aisée, il couronne de solides études classiques en entrant premier à l’École Normale Supérieure en 1949. Ses maîtres en philosophie sont alors Michel Alexandre, Jean Hyppolite, Maurice Merleau-Ponty qui l’initie à la phénoménologie husserlienne, et Jean Beaufret qui lui fait découvrir la pensée de Heidegger. Agrégé à vingt-trois ans, il enseigne au lycée de Pau, puis à l’université de Bordeaux. Mais c’est à Toulouse qu’il effectue le reste de sa carrière professorale, constituant autour de lui une véritable « école ».
Ses thèses sur Husserl et sur Kant n’ont presque rien de commun avec les études traditionnelles d’histoire de la philosophie. Sa méthode consiste à concentrer l’attention sur quelques textes capitaux, stratégiquement sélectionnés en fonction d’interprétations librement inspirées de Heidegger. C’est ainsi que s’opèrent des lectures critiques et originales : Husserl excelle sur le terrain de prédilection de la phénoménologie, la perception, mais dans les limites de la philosophie moderne de la subjectivité ; la géniale « équivoque » de Kant consiste à mettre radicalement en question la possibilité de l’expérience tout en « exaspérant les impossibilités du langage de la représentation ».
Plus récemment, Gérard Granel a su combiner avec maestria l’art de la digression brillante avec une précision minutieuse, en abordant des penseurs aussi divers que Hume, Saussure, Desanti, Lacan. Alors qu’il avait été, il y a trente ans, un des « découvreurs » de Jacques Derrida, il n’hésite pas à ébaucher les contours d’une nouvelle tâche « épistémologique », à travers une méditation où Frege et Wittgenstein entrent de manière inattendue en dialogue avec Heidegger. Ses positions politiques deviennent anticonformistes à partir des années 1968-1970. Rompant avec l’Église catholique, il affirme son indépendance d’esprit. La lecture de Marx, renouvelée par Gramsci, inspire sa contestation d’une politique universitaire d’inspiration technocratique.
En 1980, il fonde les Éditions Trans-Europ-Repress (T.E.R.), auxquelles il va se dévouer jusqu’à sa mort. Ses activités éditoriales ont été mises au service de ses convictions philosophiques et de ses talents de traducteur. Gérard Granel publie ainsi en version bilingue des textes, pour la plupart inédits, de grands auteurs (Vico, Hume, Heidegger, Wittgenstein). On retiendra un coup d’éclat : la publication « pirate » en 1982 du fameux Discours de Rectorat de Heidegger, jusqu’alors 2 introuvable. Il faut aussi saluer la courageuse édition de l’œuvre monumentale de Reiner Schürmann, Des hégémonies brisées (1997). Polémiste de grande classe, Gérard Granel défend Heidegger lors de l’« affaire Farias » en 1988, et il se veut visionnaire en matière d’« archipolitique » (voir « Les années 1930 sont devant nous », in Études). Traducteur, il sait faire parler la langue sans sacrifier la rigueur — que ce soit à partir de l’allemand (Husserl, Heidegger, Wittgenstein), de l’anglais (Hume), de l’italien (Gramsci), ou du latin de Vico.
Au total, Gérard Granel ne s’est nullement borné à « faire connaître » Heidegger. Il a certes excellé en des tâches pédagogiques où il prenait le relais de Beaufret et de Birault. Il s’est surtout révélé un éveilleur, maître au ton inimitable, sachant tenir dans le monde philosophique français un rôle intellectuel unique, à distance de tout parisianisme. Rebelle aux allégeances, résistant à toute « normalisalion », il a préféré paraître marginal pour ne pas être recupéré par une société dont il méprisait la médiocrité.
Dominique Janicaud
Bibliographie • Le Sens du temps et de la perception chez Husserl, Gallimard, Paris, 1968. • L’Equivoque ontologique de la pensée kantienne, ibid., 1970. • Traditionis traditio, ibid, 1972 • De l’Université, T.E.R., Mauvezin, 1982. • Cartesiana (en collab. avec B. Bouttes), T.E.R., Mauvezin,1984. • Ecrits logiques et politiques, Galilée, Paris, 1990. • Etudes, Galilée, Paris, 1995. • Granel. L’éclat, le combat, l’ouvert, Paris, Belin (coll. l’Extrême contemporain), 2001.
Textes de Gérard Granel en ligne
Site de Gérard Granel
Sur l'exactitude des mots dans le Talmud
"Vis argumenti", l'exactitude selon Spinoza
Le désir et le manque selon Lacan
Une lecture lacanienne des séances sur Badiou
Le psychanalyste lacanien Daniel Demey m'a envoyé cet email contenant son analyse des deux séances consacrées à Alain Badiou
Alain Badiou et l'Universel — www.youtube.com
La raison Zagdanski
J’ai repris hier l’écoute des séminaires de Zagdanski, et je m’en suis réjoui.
Une pensée vive, érudite, parfois comique, extrêmement maligne pour débusquer des lièvres, des sangliers, parfois des biches, dans le roncier des énoncés et des énonciations.
Un tourbillon de passerelles entre auteurs, grands philosophes, petits , valets, menteurs etc.
Le valet de pique… malgré son stigmate de pitre ou de mauvais, il a bien une raison. Grâce à lui, grâce à sa forme, son nom, son symptôme, c’est lui dans ce jeu de cartes qui fait littéralement jouer.
Sans lui, pas de jeu, pas de table de jeu où se croisent les joueurs.
L’acuité de Stéphane Zagdanski pour dénicher la carte à ne pas prendre, est formidable, enjouée, extraordinairement virtuose. On se prend à jouer avec lui, selon ses dires, dans ses recommandations pour jouir de la partie.
Au risque de tout perdre, c’est vrai, il faut l’adresse de la divination, du flair, de l’intuition pour d’un rictus dérouler l’exégèse de la faute.
Séparer le bon grain de l’ivraie… à force de travail, d’une volonté immense, d’un acharnement à ses études, croiser, faire se croiser des chemins improbables pour démonter, et démontrer par A+B, une assertion que pose ce flair, cette irritabilité qui le fait se gratter à quelques stimuli de peau venu d’un autre, à la même table de jeu.
C’était extrêmement agréable quelque part de voir des mécanismes d’une fabrique de la « pensée » comme une tout de Babel voir s’effondrer chez un parangon contemporain de la philosophie tel que ce mandarin de Badiou.
Très intelligente, très fertile en bonnes raisons, en bonnes raisons de discours et de défense d’une position de discours, si j’ose dire d’une « vérité » pour desceller la statuaire « Badiou ».
Comme il le dit je crois, c’est une opportunité pour creuser la validité de son propos, de son discours sur la pensée juive que de se saisir de l’embrouillamini du cheminement d’un autre, pour affermir sa raison.
J’ai failli fermer l’ordinateur à certains moments, tellement la jouissance prise à l’analyse sauvage était prégnante.
C’est là que se posent des questions.
Dans sa résolution, Zagdanski travaille pour le bien. Son adversaire, celui qu’il définit ainsi en opposition à lui, à sa vertu, à son exercice d’œuvre du bien, c’est donc, inévitablement le « mal »… une figure de l’œuvre du mal. Badiou en ramasse plein : menteur, trompeur, filou, rusé, pervers… j’en passe.
Ce que je veux pointer ici, c’est la contradiction chez lui, telle, que dans la constitution américaine, selon Gödel, qu’il cite très instructivement, il y aurait une faille ; une faille telle qu’en un tour de main, elle prêterait à voir la réversibilité de ce qu’elle prétend garantir : la démocratie. Et qu’en ce tour de main, qui ressemblerait à une filouterie, à un escamotage, elle deviendrait une dictature. (je le cite dans son exposé).
De ce que Gödel aurait découvert à cet endroit, nous n’en saurons rien, puisque le juge qui devait l’entendre a décliner la dissertation sur la constitution que lui préparait le célèbre mathématicien.
Soit, mais pour Zagdanski ?! Dans son approche des discours, et du sien, qu’il veut tenir puisque agréablement pour nous, il parle, quel serait ce point, y en a-t-il un ?
Zagdanski, le paraître du maître juste. De la raison comme raison d’une fondation.
Là où Lacan, lui, il dit et propose de la pensée, du « je pense donc je suis » de Descartes, l’entorse, de son « je pense, donc, je jouis » ! que l’on peut écrire aussi avec un ï … la IIIème.
A la table de la ronde des discours, comme un « poumon artificiel » à notre époque, celle de Lacan qui continue ( jusqu’à ce là quand ?) Où peut-être il cesserait d’être à cette figure d’un pivot de cette « pensée »…, de cette époque, pour une autre alors, un autre point pivot...qui sait, il n’ y a pour Lacan que celui de la psychanalyse, d’une psychanalyse en acte analytique, qui puisse tel qu’il définit le discours de la psychanalyse, mettre à l’œuvre et en mouvement de pousser à la ronde, par le subterfuge du désir de l’analyste de porter, d’assumer sa position d’objet a de et pour l’analysant.
« Je me tais donc » « je me fais me taire »… et je me « prive » d’une sorte de jouissance dans l’advenue quasiment prophétique, discursive que prendrait le débit d’un savoir dans une cure à ce sujet du désarroi de l’être, de son malaise dans la civilisation. Retrait pour l’analyste, d’une jouissance à parler, à prendre une place religieuse, d’usurpation de guide dans l’obscène de la scène analytique, dans ce qui ne serait plus la pratique, la praxis de ce discours, dans un moment de sa jouissance, posée par la raison, l’intelligence démonstrative, d’un A+B, « d’avoir raison ».
D’avoir raison comme cette mise en évidence d’un graal de la disputatio, d’une lumière, d’un bien à raisonner, faire preuve de raison pour un sujet, d’une exemplaire raison, faisant office d’un bien pour l’autre du sujet de l’inconscient du désir, du sujet dans le langage d’un exercice où alors, pris au filet de la capture de l’identification à la « vérité », il voudrait, pourrait prendre cette place phallique de jouissance.
Le psychanalyste qui ferait ça, est, dit par Lacan de la canaillerie ; une vraie canaille d’une armée en régiment de cavalerie, défonçant les autres rangs, dans une héroïque, glorieuse bataille. Il se présenterait sur la scène des discours, à la place fallacieuse, trompeuse, à valeur de « serpent », comme dit Zagdanski, dupe de sa duperie.
Il ferait ça en narcissisme d’un spectacle de la scène qu’il se donne, de sa propre scène donc, contre le bénéfice d’un autre dire, d’une autre jouissance à dire « je suis parlant », celle du parlêtre, celui de l’inconscient du désir de l’analysant dans un moment, dans une époque.
Zagdanski ne prétend pas faire une psychanalyse de Badiou pour l’ écerveler au grand jour. Non, il utilise des outils de langage du discours analytique, le dire de Lacan notamment, qui intervient dans ses séminaires comme, selon lui, une pratique de l’analyse, telle que c’est lui, Lacan, l’analysant et l’autre (les autres) en position de supposé savoir, de savoir entendre, par exemple, bien qu’il confesse qu’il « parle pour les murs ».
Zagdanski fait de l’analyse sauvage comme argument d’une vérité, d’une vérité de raison de son fondement à lui, enfin du fondement qu’il dit chercher en lui comme dans la « pensée juive » qui par l’exemple de sa volonté devient pour lui et par lui, lui, ce sujet commun de la division et de l’inconscient de son désir, quelque part, un fondement de raison dans la raison…
Le Dieu de Zagdanski, est tout autant que celui de Badiou, celui d’un profilage de la vérité du sujet dans la raison...dans la raison attribuée à ce Signifiant 1, comme étant déjà du langage, déjà du discours… non pas qu’il le dit comme comme ça ; non, il dit que ça commence par la lettre.
La lettre et les lettres qui feront assemblages pour s’inscrire phalliquement, par le discours, comme trouée du symbolique dans le Réel.
Un semblant pour le vrai. Il raisonne ainsi à faire de la raison qui parle, qui parle en « Dieu » de la lettre déjà, le socle de la vérité d’un savoir dans le déchet du savoir, de la prétention à savoir de Dieu. Dieu est ainsi devenu la lettre...avec son horizon mythique, qu’un jour, il parlera, sera audible.
Et bien… ça, c’est une entourloupe ; une entourloupe au Signifiant de la coupure. Car l’entrée en jeu du Signifiant pour l’homme devenant parlêtre, ce n’est pas le progrès dans le discours, l’étoile de l’idéal de savoir ce que la lettre dira dans ses assemblages, ou même seule.
La lettre ne dit rien, ne traduit rien d’un sens, d’une histoire. La lettre est une écriture en trace de frontière avec le symbolique, une trace de frontière indéfinissable, impossible à déterminer en fin et commencement, comme Lacan la situe dans Lituraterre. C’est un rapport à la jouissance de parler en ce « trou » de l’impossible à dire.
La coupure du signifiant, c'est un réel...un impossible à dire, de la jouissance évanescente du sujet de l'inconscient, tel que ce sujet, il n'est repris que dans la béance de l'articulation des signifiants: un signifiant représente le sujet pour un autre signifiant...
La Raison n’a rien à voir là-dedans, à moins de dire, de pouvoir dire que la vraie raison de parler, dans le fondement qui fait parler, ce qui fait les hommes dire dans le « qu’on dise reste oublié dans ce qui se dit derrière ce qui s’entend » Lacan in l’Étourdit ; c’est un effet d’une certaine jouissance, qui n’est pas d’un ressort à prendre dans le langage, dans les rets d’un discours, de la jouissance phallique...toujours trompeuse, toujours menteuse dans ses énoncés.
Ce qui fait les hommes parler… c’est l’effet de l’autre jouissance, jouissance féminine, comme jouissance, « autre face de Dieu supportée par la jouissance des femmes » Lacan, in Encore.
On est là exactement dans l’éprouvé d’une rencontre avec le Réel qui fait écriture en tuché, de point, de lettre sur le corps parlant comme déséquilibre, érogénéisation porteuse d’une condition nouvelle dans le rapport de l’animal humain à sa vie, telle qu’elle est au Signifiant, à sa propre division, comme rassemblée dans une jouissance qui défait la coupure, la division, où le corps dans sa marque sous la férule de la coupure, s’aime, trouve en lui un ressort tel que là, se trouve l’Amour.
Dieu est dans l’inconscient (Lacan) Il a donc toutes les raisons d’ek-sister à travers une « raison » délicieuse qui échappe à l’homme dans le désir et dont une femme peut être le lieu d’un témoignage de cette ek-sistence, comme dépassement de toute tentation de discours, de faire valoir une vie par la raison dans un discours, une démonstration se voulant de vérité.
Confusion du mathème
Daniel Demey
240421
Merci d'être comme vous l'êtes à la table du jeu...de l'En-je(u)...
On ne joue pas seul à cela et cela part du Signifiant dans son intervention de sa coupure sur le corps
Chapitrage des séances passées en cours :
La séance d'ouverture du Séminaire est désormais chapitrée, pour plus de confort de visionnage:
00:00 Présentation du Séminaire par Abigaëlle
00:19 Humour de la Providence juive
02:35 Les trois questions concernant le monde (Quoi? Comment? Pourquoi?)
04:26 La Philosophie participe à la Gestion Génocidaire du Globe
06:03 Qu'est-ce qui arrive au monde ?
25:28 Penser l'antisémitisme
28:01 Importance de Heidegger
43:25 La GGG, désignation du Ravage en cours
49:19 Qu'est-ce que la Gestion?
58:46 Penser c'est bondir
1:19:59 Le Digeste de Justinien
1:37:53 L'animosité contre la pensée juive
1:42:18 Penser par bonds dans le Talmud
1:51:35 Remerciements
Toutes les autres séances le seront aussi au cours des semaines à venir. Si par hasard quelqu'un veut m'aider en participant au patient et minutieux travail d'horodatage des séances, qu'il me prévienne par email. Merci d'avance !
La chaine YouTube du Séminaire est désormais divisée en plusieurs catégories :
La Gestion et le Génocide — youtube.com
7 vidéos
Heidegger et l'antisémitisme — www.youtube.com
6 vidéos
Alain Badiou et l'Universel — www.youtube.com
2 vidéos
Pensée juive — www.youtube.com
8 vidéos
Spinoza et la Bible — www.youtube.com
4 vidéos pour l'instant...
Au dimanche 2 mai pour la suite... S. Z.
Réservation pour dimanche prochain ou pour les 4 dernières séances de l'année. — www.billetweb.fr Tickets : Séminaire de Stéphane Zagdanski - Billetweb