1/ Émettre un mandat international contre tous les criminels dirigeants du Hamas, Ismaïl Haniyeh, Khaled Mechaal, Taher An-Nunu… réfugiés à Doha, au Qatar.
2/ Intimer au régime despotique de Doha de livrer à une Cour Pénale Internationale les chefs du Hamas protégés par le Qatar.
3/ Boycotter internationalement le Qatar tant que l’émir Tamim ben Hamad Al Thani n’aura pas extradé les criminels dirigeants du Hamas et délivrés à une Commission de Justice Internationale.
4/ Tant que le Qatar n’aura pas obtempéré, lui appliquer les mêmes mesures de boykott radical prises contre la Russie au lendemain de l’invasion de l’Ukraine :
5/ Interdire de diffusion Al Jazeera partout où cela est possible (comme Russia Today en Europe).
6/ Saisir toutes les possessions qataries à l’étranger (yachts, villas, jets, etc.). Geler tous les comptes bancaires qataris partout dans le monde, y compris dans les paradis fiscaux.
7/ Interdire de jeu et de manifestation sportive le Paris-Saint-Germain, propriété du Qatar.
8/ Cesser toute transaction financière et commerciale avec le Qatar, tout échange culturel, tout achat de matières premières, tout trafic d’armements, tant que les criminels de guerre de Hamas ne sont pas livrés.
Les innocents civils gazaouis comptent sur l’Occident pour mettre un terme à leurs souffrances.
La peur, l’envie, la colère, le désir, le pouvoir, nombreuses sont les raisons d’oublier collectivement son prochain, jusqu’à mener au déshonneur civil de poètes comme ce fut le cas sous nos latitudes au milieu du siècle dernier. Aussi, produire à nouveaux frais un propos à ce sujet c’est encore et toujours faire des choix en fonction de publics supposés et de points saillants de ce que l’on souhaite donner à voir en se glissant dans la peau d’autrui. Ce qui ne saurait être neutre, puisque c’est d’interprétations narratives dont il est question, d’interprétation idéologique de l’opsis du monde qu’auraient à apprécier leurs destinataires. Chacun se voulant persuadé de piloter son cadrage en totale autonomie, quand les motifs en question les cadrent en acteurs d’une pantomime justifiant leur participation sacrificielle au droit de nature, si ce n’est aux exactions de guerre civile ou de religion. On ne joue pas avec le terrorisme comme vêtement de contes de fées à l’horizon d’un minimum d’ordre assurant un maximum de liberté et une montée des rires au rang des plus hautes sagesses. Ce qui n’est pas apaisement ou anesthésie. À suivre…
La peur, l’envie, la colère, le désir, le pouvoir, nombreuses sont les raisons d’oublier collectivement son prochain, jusqu’à mener au déshonneur civil de poètes comme ce fut le cas sous nos latitudes au milieu du siècle dernier. Aussi, produire à nouveaux frais un propos à ce sujet c’est encore et toujours faire des choix en fonction de publics supposés et de points saillants de ce que l’on souhaite donner à voir en se glissant dans la peau d’autrui. Ce qui ne saurait être neutre, puisque c’est d’interprétations narratives dont il est question, d’interprétation idéologique de l’opsis du monde qu’auraient à apprécier leurs destinataires. Chacun se voulant persuadé de piloter son cadrage en totale autonomie, quand les motifs en question les cadrent en acteurs d’une pantomime justifiant leur participation sacrificielle au droit de nature, si ce n’est aux exactions de guerre civile ou de religion. On ne joue pas avec le terrorisme comme vêtement de contes de fées à l’horizon d’un minimum d’ordre assurant un maximum de liberté et une montée des rires au rang des plus hautes sagesses. Ce qui n’est pas apaisement ou anesthésie. À suivre…
GGJ